Nous vivons dans un pays hautement développé.
Nul besoin, pour une très grande majorité de citoyens et citoyennes de France, d’avoir un chef pour savoir quoi faire demain et les jours suivants.
Volontairement ce constat ne prend pas en compte les innombrables rencontres humaines ayant permis de parvenir à cet état de fait. Combien de crimes aura-t-il fallu endurer pour construire notre Pays ? Les débats entre tous les damnés de la terre sont devenus aujourd’hui incontournables. L’emporter contre les capitalistes de tout acabit et remporter la décision c’est possible.
Nous savons ce que nous ne voulons pas, souvent résumé dans toutes ces choses découlant de l’austérité imposée contre la volonté du Peuple.
Depuis toujours la violence est consubstantielle aux systèmes politiques mis en place par les plus fortunés et cela quelle que soit l’époque. Comment, dans ces conditions, sortir par le haut du piège de la violence ?
Se rassembler toutes et tous en assemblées citoyennes et discuter du "bien vivre ensemble" sur le terrain. Est-ce que cette approche nécessite d’établir un cadre minimum pour se rassembler ? Non et les gilets jaunes montrent pourquoi. En faisant sécession avec les élites et les institutions censées représenter et servir le peuple les Gilets-jaunes, à leur manière et avec les moyens du bord, quittent les faussaires, brigands et autres bandits en bandes organisées infestant une République qui n’en a plus que le nom.
Alors OUI au recouvrement plein et entier de la souveraineté populaire faire la décision en devenant maître de son temps.