L’énorme diversion représentée par la mauvaise farce covidienne appelle à une riposte idéologique sans précédent des citoyens du monde. En les privant de leurs libertés fondamentales, quand un état, un pouvoir en arrive à un tel niveau de méfiance envers sa propre population, cela veut dire que quelque chose représente un danger, une menace imminente pour eux, pour leurs sacro-saintes libertés de nuisances. Les plus puissants oligarques de tous les pays savent qu’une chose est advenue les rendant totalement inapte à en maitriser les effets. La population mondiale toute entière est déjà impactée mais ce "quelque chose" doit être mortel pour qu’ils en soient arrivé à un tel point d’affolement.
"Ilya Prigogine (25 janvier 1917 - 28 mai 2003), physicien et chimiste belge d’origine russe, né à Moscou reçut le prix Nobel de chimie en 1977, après avoir reçu la Médaille Rumford en 1976.
Il étudia la chimie à l’Université libre de Bruxelles en Belgique.
Il est connu surtout pour sa présentation sur les structures dissipatives et l’auto-organisation des systèmes, qui ont changé les approches par rapport aux théories classiques basées sur l’entropie. Jusqu’à Prigogine, la thermodynamique classique considérait les phénomènes comme théoriquement réversibles, ce qui est en contradiction flagrante avec l’expérience courante. En fondant l’irréversibilité des phénomènes temporels, Prigogine a réconcilié la physique avec le sens commun, tout en faisant date dans l’histoire de la thermodynamique. [...] Pour comprendre clairement la psychologie et la science du comportement, il buta sur le fonctionnement du cerveau humain. Ainsi, il étudia la biologie, la chimie et enfin la biochimie. En poussant plus loin pour comprendre les interactions chimiques, il étudia la physique des particules. De la physique, il passa à l’astrophysique et à la cosmologie. Il aborda alors les questions fondamentales : la matière, le vide, le temps et son sens unique (la flèche du temps). Pour comprendre la flèche du temps il dut étudier les structures dissipatives." FIN de citation.
Ci-dessus la citation empruntée à Wikipédia me permet l’éclairage suivant :
Ilya Prigogine me semble avoir toute sa vie cherché à comprendre sur quel mensonge la sordide exploitation capitaliste reposait. Il détenait ce besoin impérieux des hommes à comprendre ce qu’ils sont, d’où ils viennent et où ils vont. Cependant Ilya Prigogine en faisant sien le concept de La flèche du temps vit sa vision d’ensemble, elle aussi, se dissiper. Pour autant, il lui apparait que la communication utilisée par les grands moyens de diffusion internationaux correspond à un langage construit, façonné, similaire à une flèche du Temps. C’est pourquoi je pose la question aux physiciens mais aussi et surtout à tout le monde : les langages seraient-il synonymes de “flèche du Temps” ? En répondant par l’affirmative, surgit une théorie universelle très bien comprise par l’humanité toute entière. Ainsi les différentes disciplines scientifiques se trouvent réconciliées et travaillent en osmose complète.
Mais la guerre idéologique, menée par les apôtres de la pensée unique, affirme que le Temps est ce qu’il est sans que personne ne puisse concrètement nous en donner une explication satisfaisante dans le sens "chose utile" sauf, et ce n’est absolument pas fortuit, pour le plus grand bénéfice de ces apôtres.
L’invention du concept espace-temps confère à leurs concepteurs et ses thuriféraires l’illusion de la réalité.
Alors, ce mensonge, ... est-il si gros que l’on peine à le dénoncer ?