Vitesse de la lumière

Vouloir donner une qualité de vitesse à la lumière est une gymnastique intellectuelle que je peux avoir mais que je ne retiens pas.

De nombreuses expérimentations tentent de valider le postulat que la lumière ait réellement une vitesse. Nous sommes, la communauté scientifique permettant de m’inclure en son sein, régis par des lois relativistes et cela nous amène, dans l’état des connaissances mises à notre disposition par le grand capital, à concevoir une vitesse limite tout comme est considéré à l’autre extrémité (si je puis dire) un big-bang démarreur. Pourquoi cette nécessité se devrait de devenir loi ? Karl Marx nous le dit mais aura toute les difficultés du monde à expliciter son propos qui se heurte de plein fouet aux exigences de ce grand capital.

C’est souvent en formulant ce qui n’est pas que l’on peut espérer découvrir ce qui est (ou serait).

La flèche du temps (son expression) n’est pas, à ma connaissance, un concept mais plutôt une convention. Tout le monde y voit ce qui l’arrange et, personnellement, je ne déroge pas (en quelque sorte) à cette règle. Fort de ce constat je réponds : « le langage (dans sa pluralité) semble être construit, façonné, avec une flèche du Temps. Alors je pose une question aux physiciens mais aussi et surtout à tout le monde : le langage serait-il synonyme de “flèche du Temps” ? En répondant par l’affirmative, surgit une théorie universelle très bien comprise par l’humanité toute entière, construite de mots simples excluant l’utilisation abusive de la rhétorique ».

Einstein s’est appliqué à vulgarisé au possible les lois de la relativité. Pour cela il fit éditer un petit livre ou il indique, en préface, s’adresser à des bacheliers. Pour moi, d’emblée, j’y vois une exclusion qui ne devrait pas être. Quand on affirme une théorie aussi fondamentale personne ne devrait en être écarté et la rendre perceptible au plus grand nombre sinon à tous devient ainsi un impératif.

Contrairement à ce "Grand Monsieur" ma démarche ne se conçoit que partagée.